un film en phase avec une époque qui tend à favoriser deux types de comportements, celui de l’accro au travail et celui de l’anti-conformiste qui ne songe qu’à profiter de la liberté que lui offre la vie. Malheureusement, en voulant intellectualiser son récit, Benjamin Guedj a transformé sa fable sociale en conte moralisateur. En cherchant à jouer avec les stéréotypes, le réalisateur s’est fourvoyé dans un humour attendu, là où le spectateur était en droit d’attendre un brin de folie.